Visites Libres : Saint-Nicolas, Lévis

La voiture est une excellente option pour se déplacer dans Saint-Nicolas. Il est très simple d'accéder à la voie rapide la plus proche, comme l'Autoroute Jean-Lesage, et dénicher un endroit où stationner n'est normalement pas trop compliqué. Néanmoins, il est peu commode de circuler en transport en commun dans le quartier en raison du niveau de service. Cependant, une trentaine de lignes d'autobus desservent le secteur, et l'arrêt d'autobus le plus proche est généralement situé tout près. Le quartier est plutôt mal adapté à la pratique du vélo parce que la topographie est plutôt irrégulière, et il y a peu de voies cyclables. Cependant, certains endroits sont mieux adaptés au vélo. Il est aussi difficile de circuler à pied dans Saint-Nicolas puisque les résidents doivent habituellement utiliser la voiture pour combler leurs besoins quotidiens.

Dans cette partie de Lévis, les familles peuvent généralement se rendre à une école primaire en privilégiant la marche. En revanche, puisque l'on peut trouver peu d'écoles secondaires et de garderies, elles ne sont normalement pas à distance de marche. En termes d'alimentation, les habitants auront très souvent besoin d'un véhicule pour aller à l'épicerie la plus proche. Par ailleurs, il y a un choix très limité de restaurants.

Saint-Nicolas se définit par une atmosphère calme qui saura plaire à ceux qui aiment passer du temps à l'extérieur. D'une manière générale, le quartier est exceptionnellement paisible, puisque la pollution sonore liée à la circulation des véhicules est rarement un problème, notamment près d'une voie ferrée, de l'Autoroute Robert-Cliche ou de l'Autoroute Jean-Lesage. Enfin, on retrouve une trentaine d'îlots de fraîcheur à proximité, comme le Parc de la Montagne et le Parc des Chutes-de-la-Chaudière, ce qui fait qu'il est simple de se rendre jusqu'à l'un d'entre eux en marchant.

À peu près 40% des propriétés de Saint-Nicolas ont été bâties depuis l'an 2000, alors que la majorité des unités restantes ont été bâties dans les années 1960 et les années 1980. La majorité des bâtiments sont des maisons individuelles. Des propriétaires occupent environ les trois quarts des unités de Saint-Nicolas tandis que le reste est loué. Le quartier a principalement des logements avec quatre chambres à coucher et des logements avec trois chambres à coucher à offrir.